Your real faults—and here you may or may not know them—usually go unnoticed, uncriticised. It takes too much time and trouble to look at people as they really are. It’s easier to imagine them. It’s easier to worship, or to demonise them, but to take them ‘as is’, we haven’t time.
Ever afraid to come home? If the answer is ‘yes’ then it is a question of having a home at all, because home is all about welcome, acceptance, affirmation, interest in one another, love. ‘Foxes have holes and the birds of the air have nests, but the Son of Man has nowhere…’
He wasn’t talking only about a comfortable spot to rest. In all the world, no such place was found for Him, or offered, until a rich man offered His newly excavated tomb, and there, He was finally able ‘to lay His head’. Is this the only home we have to offer those we say we love?
Brethren, let us love one another, as the holy apostle says, quoting His Divine Master who also says it to us. He never said, ‘Judge one another as I have judged you,’ but rather, ‘Love one another as I have loved you. Then you will be My disciples. Greater love has no man than this…’
Judgment is the law of this present age.
Mercy is the law of the age to come.
‘How blessed are the merciful,
for they shall have mercy shown them.’
Dear in Christ Romanos,
ReplyDeleteI translated this post for my blog. It will appear tomorrow ( April 17, 2011). ( http://orthodoxologie.blogspot.com/)
Les gens vous jugent rarement pour vos fautes réelles. Au lieu de cela, ils vous jugent pour leurs propres fautes qu'ils appliquent à l'image qu'ils ont de vous, ou bien ils vous jugent car vous ne vivez pas selon ce qu'ils attendent de vous, ou parce qu'ils pensent que vous ne suivez pas les règles, non pas leurs règles, bien sûr, mais les Règles.
Vos fautes réelles, et là vous pouvez ou ne pouvez pas les connaître, passent souvent inaperçues, et elles ne sont pas critiquées. Cela prend trop de temps et de peine de regarder les gens comme ils sont vraiment. Il est plus facile de les imaginer. Il est plus facile de les adorer, ou de les diaboliser, mais les prendre "tels quels", nous n'en avons pas le temps.
Avoir jamais peur de rentrer à la maison? Si la réponse est 'oui', alors la question est déjà d'avoir une maison, car la maison est synonyme de bienvenue, d'acceptation, d'affirmation, d'intérêt pour l'autre, d'amour. "Les renards ont des tanières et les oiseaux du ciel ont des nids, mais le Fils de l'homme n'a nulle part où poser Sa tête"
Il ne parlait pas seulement d'un endroit confortable pour se reposer. Dans le monde entier, un tel lieu ne fut pas trouvé ou offert pour Lui, jusqu'à ce qu'un homme riche offre son tombeau nouvellement creusé, et là, Il put enfin "reposer sa tête". Est-ce la seule maison que nous ayons à offrir à ceux dont nous disons que nous les aimons?
Mes frères, aimons-nous les uns les autres, comme le saint apôtre le dit, citant son divin Maître Qui nous le dit aussi. Il n'a jamais dit, "Jugez-vous les uns les autres comme Je vous ai jugés", mais plutôt, "Aimez vous les uns les autres comme Je vous ai aimés. Alors vous serez mes disciples. Il n'est pas plus grand amour que celui-ci…"
Le jugement est la loi du siècle présent.
La miséricorde est la loi du siècle à venir.
"Heureux les miséricordieux,
car ils obtiendront miséricorde. "
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
http://cost-of-discipleship.blogspot.com/search?updated-max=2011-04-13T20%3A55%3A00-07%3A00